dimanche 18 décembre 2011

Fin de stage, (re)déménagement et amour

Ça y est, j'ai survécu au stage. J'ai corrigé ma vie jusqu'à la dernière seconde, ce vendredi, pour pouvoir m'en débarrasser. Dire que je pensais tout abandonner parce que mon maitre-associé m'a descendue, parce que je croyais sincèrement ne pas être à la hauteur. C'est que je croyais avoir réglé tous mes problèmes de confiance, mais je me rends compte qu'il est difficile de se remettre entièrement d'une enfance passée à se faire descendre par son paternel.

***

Je pense que je vais finir par détenir le record Guiness de la fille qui déménage le plus souvent au cours d'une seule année. Me voilà encore dans les boites pendant qu'il fait -10 dehors! Heureusement, l'humain a une bonne capacité d'adaptation, et j'en suis la preuve. J'ai fini par ne plus m'attacher à l'ambiance d'un appartement par peur d'être déçue lorsque je le quitterai. J'ai juste une chose à rajouter: hostie que je suis écoeurée de faire des boîtes et de peinturer! Voilà, c'est dit, je peux passer à autre chose.

***

Je suis tombée amoureuse, encore, et ce n'était pas le moment idéal. Je suis tout éberluée par la tournure des évènements. Je voulais prendre le temps de revivre et de n'être plus blasée, mais tout s'est bousculé. Est-ce vraiment possible de vivre un amour tout simple, doux et sans tracas, comme si tout allait de soi? Je me pose de moins en moins la question depuis que je l'ai rencontré, cela sonne plutôt comme une évidence...

2 commentaires: